entrainement (pour roy eith et fantome ^^)

Roy : Non grand manitou suprême,(Sa fait coullions la lune ce grade XD)Je penssais partir en reconaissant en allant poser 2 pains de C4 pour faire une diversion,une fois le feu d'artifice déclencher Soccar reste en arrière pour nous couvrir et je fonce chercher Eith dans toute les cabanes ou tante si il le faut....On ne laisse pas de colègue en arrière.

/hj/ pour mon grade si il te gêne apelle moi général ça marche aussi ^^ /hj/

Eleade secoue la tête en soupirant puis dit : "Roy réfléchissez, en agissant ainsi vous perdez notre seul avantage : la surprise. Et surtout c'est un plan suicide : nos ennemis sont bien trop nombreux. Si ça tourne mal oui on tirera dans le tas. Mais on en est pas là.
Bien suivez moi. Ces trois gardes qui patrouillent là-bas. On va les assomer, les bailloner, et prendre leurs vêtements et armes. "

Soccar : "Heu mon général, vous voulez dire qu'on va se déguiser ?"

Eleade : "Eh oui ça s'apelle la méthode de l'infiltration du terrain ennemi en inconito. La nuit va nous aider à nous faire passer pour des guerilleros. Surtout ne faîtes pas de bruit, et pas de coup de feu ! Ou on se fera repérer. "

Sans plus un mot Eleade rampe jusqu'à un chemin quelque peu à découvert où patrouille trois gardes. Elle fait signe à roy de monter dans un arbre pour sauter sur un garde, tandis que Soccar prend position derrière un buisson.
Prenant un fil transparent de son sac Eleade le place en travers du chemin puis se pose derrière un arbre.
En positions, ils retiennent leurs souffles tandis que les gardes se raprochent

/hj/ eh oui soit logique roy, à moins d'être rambo ton plan peut pas marcher
Heu pour ta réponse hésite pas à donner tes sentiments vis à vis de la situation

Bon aller un ptit tour du coté de Eith, comme ça ça va faire avancer l'intrigue et tu pourras participer, hein la prisonnière ^^ :/hj/

Pendant ce temps, le guerilleros surveillant Eith se fait de plus en plus menaçant.
Posant son poignard sur ta gorge il murmure : "Tu tombes bien tu sais, ça fait quelques temps qu'on a plus de prisonniers ici, les derniers sont tous morts... Et on manquait de distraction ! "

/hj/ alors ta réaction ? moi sadique nan pas du touuuuut t'inquiète pas la happy end est prévue ^^ /hj/

Ah euh... cool... ça veut dire que je vais me faire chouchouter ça, non?

La ferme! ça veut dire que je vais te chouchouter à ma manière...

arrggggggggg (ça c'est la pensée de Eith)
comment je fais moi? il me fait peur l'autre bourrin avec son coutelas... veut rentrer chez moiiiiii!!!!

ils sont où les autres boulets?

(ça c'est encore la pensée de Eith)

Dis moi beau brun... tu joues au poker?

le guerilleros regarde sa prisonnière avec étonnement....

/hj/ bon allez cette fois ci on en vient à l'intrigue de la mission, soyez attentif ! /hj/

Le guerilleros un bref instant désarçonné par ta réplique, tu en profites pour lui doner un coup de pied dans l'entre jambe (ouh bobo ^^ ) et tu te fais tomber sur le côté pour te libérer de tes liens. Malheureusement en tombant ainsi tu te blesses à l'épaule gauche et tu pousses un cri (cri que tes copains planqués entendent -message subliminal : roy on t'attend ).
Le guerilleros se relève, furieux, toujours le poignard à la main, et s'écrie : "Attend je vais te faire ta fête toi !"
Tu tentes vainement de te débattre pour te relever et fuir tandis qu'il te saute dessus.
Il lève son poignard bien haut, prêt à frapper... Tu vois ta vie défiler...
Soudain un "noo !" arrête le guerilleros dans son geste.
Vous retournant tout les deux vers l'entrée de la tente vous reconnaissez un homme de forte carure.
Celui ci s'avance et lance sèchement : " ! No matarla ahora ! Salgas !"
Ebétée tu regardes le guerilleros qui semble indécis.
Ahurie tu observe le visage glacial du lieutenant coco...
que fait'il là ? qu'à t'il dit ? va t'il te sauver ?

/hj/ hé hé voici coco ^^ pour l'espagnol j'suis désolé il est aproximatif ça fait trop longtemps que je le parle plus Je vous donne pas la trad volontairement, interdiction de souffler, il faut agir comme en temps normal. Si eith tu comprends pas ce qu'il dit irl alors il faut le laisser aussi en rp.
Bien à Eith pour la réaction et les interrogations que tu peux te poser.
Et à Roy pour la suite de ta tentative de sauvetage. /hj/

(hrp) tu peux pas essayer en allemand ça je comprends? lol (hrp)

Le lieutenant? Merde qu'est ce qu'il fait là? et qu'est ce qu'il bave? c'est même pas du Goa'uld cette langue....


Lieutenant? vous connaissez ce malade? vous vous fichez de moi?

Devant le silence de Coco, Eith soupire.

j'espere au moins que c'est pour l'entrainement. sinon je vous conseille pas de croiser la route de mes potes. ils vont vous faire la peau............. ok ok j'ai rien dit.

/hj/ lool ben l'allemand j'y connais rien Au fait je te rapelle que tu t'es fait mal à l'épaule, à la médecin en chef de me dire quoi ^^ /hj/


Le guerilleros semble perplexe devant la situation.
Il finit néanmoins par obéir et sort de la tente.

Enfin seul, tu lances à coco : "hey lieutenant aidez moi !"
Coco ne te lâche pas du regard.
Un regard glacial.
Il ne bouge pas d'un centimètre.
inquiète tu lance : "Heu c'est pas drôle..."

Le volet de la tente s'ouvre à nouveau.
Encore un guerilleros, mais plus imposant cette fois ci.
Il te lance un regard qui fait froid dans le dos puis interroge du regard coco. Celui-ci se contente d'acquiescer.
Le guerilleros ramasse le poignard laissé à l'abandon par le précédent garde, puis annonce sombrement : "Je suis le chef du campement vois tu. Et votre petite balade dans le secteur gêne nos affaires, comprendo ?"

Tu te contente d'avaler ta salive et d'hocher la tête.

Le chef envoie alors le poignard à coco qui l'attrape au vol.
Puis il lance au lieutenant des mots qui te glace le sang : "Fais ce que tu as à faire"

Terrifiée tu vois le regard d'acier de coco. Va t'il obéir ?


/hj/ royyy on t'attend, j'peux pas en dire plus moi /hj/

hp : je vais vous zigouiller , je vais vous zigouiller , lalalalalalaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

/hj/ t'es tout content toi m'étonne po
roy c quand tu veux... /hj/

/HRP Salut Salut. Je ne suis pas mort mais j'ai plus de connexion internet depuis 3 semaines donc j'ai pas pu venir. Je pense faire mon grand retour le 7 avril d'ici là, je laisse Sekh s'occuper de mon cas. A la prochaine.

/hj/ ok ok c'est enregistré

Elé prit une loupe et partit à la recherche du petit roy perdu dans la foret /hj/

HJ/Desoler mais ça fait 3 jours que j'essaye de faire certain truc et je vien de réussir la nuit dernière./HJ


Roy,Le général et Soccar venait d'enfier les vetements des 3 guerilleros.

Roy : Bon je proppose que l'on ce sépare,on la trouvera plus vite.Le camp estpas bient gros,on ce retrouvera dans un coin tranqu'il dans 10 min pour savoir si n la trouver.

/hj/ mdr
roy tu as pas bien suivit là, tu saute une étape... Faut d'abord voir comment se passe notre embuscade avec les 3 guerilleros
bon ben je le dis... /hj/

Les 3 guerilleros s'approchent de notre position. Le premier se prend les pieds dans le fil placé en travers du chemin. Tombant à la renverse il n'a pas le temps de se relever que Eleade lui saute dessus et l'assome.
Les deux autres guerilleros reagissent et pointent leurs armes sur Eleade. Heureusement roy saute sur un garde tandis que soccar assome l'autre.
Mais l'un des garde à le temps de tirer et blesse soccar à la jambe droite.

Soccar : "Ahh !"

Des voix non loin s'agitent.

Roy, pestant : "On s'est fait repéré !"

Eleade : "Enfilez ces vêtement et aidez moi à planquer les corps vite !"

Soccar et roy aimeraient bien protester mais décident d'obéir. Quelques instant plus tard ils terminent de planquer un garde inconscient dans un fourré alors que deux guerilleros armées arrivent.

L'un des deux demande, suspicieux : " ? Que pasa ?"

Eleade répond avec assurance : "Ningùn de valor. ! Este cabeza de mulos ha tirando sobre su compagneros porque hace miedo de un ardilla !"

Les guerilleros se mettent à rire grassement tandis que roy et soccar sont bien perplexe.

Un guerilleros lance alors : " ! ben aqui ! Tù deber ver el medico, y tù el jefe ! ha ha ha !"

Eleade fait alors signe à ses camarades de suivre les guerilleros.
Perdus ils hésitent mais se disent qu'ils n'ont guère le choix.
En marchant elle prend le risque de leur murmurer rapidement : "J'ai dis que, effrayé par un ecureil, roy tu as tiré sur soccar. Ils nous conduisent à l'intérieur du campement, soccar chez le médecin, roy chez le chef."

Roy grince des dents tandis qu'eleade continue : "On a pas le choix on va devoir se séparer. soccar échappe toi discrètement dès que tu le peux. Roy prend en otage le chef. Je m'occupe de chercher eith"

Elle n'a pas le temps d'en dire plus qu'ils arrivent au campement et que les guerilleros les séparent.

En entrant dans la grande tente tu te fige.
Devant tes yeux se deroule une scène à faire glacer le sang : un guerilleros baraqué en maltraite un autre qui baigne dans son sang...
Tandis que l'individu maltraité se tord de douleur sur le sol, son bourreau lève des yeux menaçant vers toi.

Tu envisages de te lancer dans la prise d'otage lorsqu'un guerilleros entre derrière toi. Tu sursautes et reconnait celui qui t'as mené au camp.
Il incline la tête devant le bourreau, ce qui confirme ce que tu devine depuis le début : voilà le chef.

Le chef s'écrie : " ? Que hace aqui este gringo ?"
Le guerilleros répond humblement : "Es un compagnero que ha tirando sobre un camarado"
Le chef, haussant un sourcil perplexe : "No ! No es un de nos hombres ! Un impostor !" hurle t'il en se redressant.

Comprenant que la situation tourne au vinaigre tu te dois d'agir, et vite...

***

De son côté Soccar est conduit à une sorte d'infirmerie, qui fait peur par sa vetusté. Le guerilleros le fait assoir sur une table branlante, puis part sans dire un mot. Des infirmières occupent la pièce, ainsi que d'autres blessés. Il ne peut pas encore leur faire faux-bond.
Prenant son mal en patience il s'oblige à rester zen en se disant qu'il doit à tout prix garder sa couverture. Et que même si c'est une infirmerie sommaire s'en est une, et qu'il doit se faire soigner.
Une femme aux dents pourries vient le voir avec le sourir.

Soccar à un mouvement de recul. La femme s'en moque et se met à rire, parlant dans son blabla espagnol à toute vitesse.
Elle remarque immédiatement l'impact de la balle dans la jambe droite de Soccar et découpe prestement le pantalon pour dégager la plaie.
En moins d'une seconde elle approche de soccar des outils qu'elle a visiblement l'intention de "tester" sur lui : une pince et un fer laissé au feu au point d'être rouge vif.

Soccar prend peur et tente de partir mais la matrone le plaque sur la table d'une main de fer, vite aidée par un guerilleros hilare devant la résistance surprenante de son "compagnon".
Soccar s'écrie : "no no no !"
Tandis que tout le monde hilare réplique : "si si si !"

Tout se passe trop vite.
L'infirmière plonge sa pince dans la plaie et en retire prestement la balle qui l'a causée.
Soccar ne peut s'empêcher de crier.
Terrifiée il voit la matrone s'approcher avec le fer incandescent dans la visible intention de cautériser la plaie...

***

Pendant ce temps Eleade marche l'air de rien vers un coin quelque peu retiré du campement qui l'intrigue. Soudain un guerilleros assis au coin du feu lui lance : "eh ! Que hace aqui ? Es una zona prohibida, debe hacer autorizacion especial !"

Eleade le rejoint en réfléchissant à toute vitesse. Une zone interdite, une autorisation spéciale... Pas de doute cela doit être la zone de détention des prisonniers.
Jouant son va-tout elle lance avec assurance : "Hace este autorizacion. Debe ver la prisoniera"
Le guerilleros lui répond, visiblement satisfait de la réponse : " ! Es bien ! La prisonniera es en la primera tenta."

Un frisson parcoure la générale. Elle a vu juste. Elle salue de la tête le garde et se dirige vers la tente en question.
Le guerilleros l'interpelle, surprit : "eh ! Debeo ver tu autorizacion !"
Il doit voir son autorisation. Logique.
Grinçant des dents Eleade evalue rapidement la situation. Le secteur étant vide elle peut aisément le neutraliser. Mais à partir de là ils auront peu de temps avant qu'un guerillleros sonne l'alarme. Une idée saugrenue lui vient à l'esprit. Elle grogne mais pas d'autre moyen.

Se retournant vers le guerilleros en souriant elle s'approche vers lui d'une manière séductrice. Elle sort un petit papier qui sert de faux laisser-passer pour l'occasion. Tant qu'elle ne s'approchera pas trop près du feu il ne pourra pas voir que c'est un faux.
Le guerilleros semble surpris de son approche mais ne se laisse pas déconcentrer et tente de lire le papier.
Eleade le retire prestement en souriant. Se raprochant de lui avant qu'il ne proteste elle lui murmurer qu'elle a envie de lui...
Le guerilleros semble hésiter puis place ses mains sur les seins de la générale.
Celle ci enrage intérieurement mais extérieurement est tout sourir.
Rassuré le guerilleros oublie alors totalement sa vigilence et vient l'embraser dans le cou.
Eleade attrape alors le pistolet du garde et l'assome prestement en lançant : "Fais de beaux rêves, obsédé"

Sans perdre un instant elle se faufille près de la tente désigné. Aux aguets elle cherche à savoir si il y a quelqu'un dans la tente mais aucun son ne lui parvient.
Ouvrant lentement le pan de la tenture de la tente, elle jete un oeil à l'interieur. Son sang se glace.
A la lumière tremblante d'une bougie elle voit un corp inerte sur le sol, une large entaille au niveau du cou d'où s'écoule un filet de sang qui désormais forme une large flaque sur le sol.

/hj/ hé hé ^^ c un vrai rp cette histoire
la suite au prochain épisode ^^
Roy c'est à toi /hj/

Bine que Roy ne parlait pas espagnol,ilreconue le mot inposteur.Il sortie un couteau et tanta de ce mettre derière le soldat situer dans son dos.

Roy : Lieutanent,non de dieu qu'est ce que vous faite.

Tu met rapidement ton couteau sous la gorge du gerilleros tandis que le chef crie pour alerter tout le campement.
Tu t'es fouré dans un beau pétrin...

***

De son côté Eleade reste figée devant le corps egorgé gisant dans la tente. Se reprenant elle entre à pas précipité et tente de prendre le poul de la victime, l'air inquiet.
La victime sursaute alors et se met à tousser, crachant du sang.

Quelque peu soulagée Eleade s'écrie, veillant à ne pas parler trop fort : " John ! Bon sang mais que c'est 'il passé ?"
Le Lieutenant coco répond difficilement : "C'est ce satané chef, j'vous avais dit qu'il était pas fiable !"
Eleade, anxieuse : "C'est lui qui vous a fait ça ?"
Coco, de la haine dans le regard : "Oui. J'étais entrain de faire peur à Eith comme convenu lorsque j'ai reçut un coup de poignard dans le dos ! J'ai pas eut le temps de réagir que ce salaud m'a egorgé et laissé pour mort..."

Eleade, la mine défaite : "Les guerilleros utilisent cet entrainement pour le changer en massacre ! Tenez bon john, on va retrouver les autres et filer d'ici !"
Coco, grimaçant : "Si je tiens jusque là !"
Eleade : "Où est Eith ?"
Coco : "J'en sais rien ! J'ai repris connaissance assez longtemps pour la détacher, elle doit être quelque part dans le campement..."
Eleade soupire.
Coco : "Allez y générale, allez récupérer les recrues !"
Eleade : "Et vous ? Hors de question de vous laisser ici ! "
Coco : "Pas le choix ! ah !"

Jetant un dernier regard au lieutenant agonisant avant de partir Eleade lui lance, convaincue : "Accrochez vous, on ne partira pas d'ici sans vous je vous en fait la promesse"

***

Pendant ce temps Eith avance à pas de loup dans le campement, guère rassurée, grimaçant de douleur à chaque pas à cause de son épaule fracturée.
Lorsque Soccar poussa son cri à l'infirmerie elle le reconnu et décida d'intervenir.
Désormais elle se trouve planqué juste derrière la tente servant d'infirmerie. Deux guerilleros patrouillent dangereusement près de sa cachette.
Que va t'elle faire ?

/hj/ voilà à eith et roy
eith comme t'as vu hop j'ai décidé que t'avais l'épaule fracturé /hj/

Un soudain hurlement poussé par Soccar fige Eith d'effroi. Se décidant à agir elle retire prestement les sardines, de manière à ce que la tente s'effondre.
C'est la zizanie. Les infirmiers se débattent dans la tenture tandis que les deux guerilleros cherchent à les dégager en rouspétant.
C'est maintenant ou jamais...

/hj/ lool nan désolé t'as pas le droit à l'aide divine courage /hj/

Roy était bloquer dans la tente avec son otage,le chef était la et quelque guerriéris l'avait rejoind.

Roy : Bonjours,je crois que je me suis tromper de tente,Vous savez je vais resortir et on vas faire comme si rien s'était passer.

/hj/ mdr /hj/

Le chef partis dans un grand éclat de rire, vite suivit par ses troupes.
Le chef lance, le regard assasin : "Tuez le !"

Avalant ta salive tu lance "Heu jai un otage"

Le chef rigole à nouveau et réplique : "Tu crois que je m'interesse à lui ?"

Voyant les guerilleros te mettre en joue tu fais marche arrière.
Reculant le plus vite possible, te servant de ton otage comme bouclier, tu fuis. Les tirs fusent, tuant ton otage mais ne te touchant pas.

Lâchant ton otage qui ne te sert plus à rien tu pars en courant à toute vitesse. Ne prenant pas le temps de répliquer aux tirs qui fusent dans tes oreilles tu parcoure le campmement, alertant tout les guerilleros.
Tu serre les dents, priant qu'une aide providentielle te sauve de ce pétrin.

/hj/ on attend eith /hj/

en voyant la tente s'effondrer, Eith se rend compte qu'elle va etre a decouvert. elle fait donc quelques pas pour se cacher derrière la partie encore debout, esperant voir emerger Soccar d'un instant à l'autre.
soudain, des coups de feu à répétition attirent son oreille, puis son regard. elle voit alors Roy sortir sous une salve de balles.
il faut...

... que je fasse quelque chose! il va se faire descendre!
mais je suis seule, sans arme, ils sont trop nombreux...
à moins que...


de la partie de la tente qui a été dématée, des objets sont tombés. et un miracle a eu lieu. un tout petit briquet noir, certainement celui d'une infirmière.

Bon alors on dit ça comment déjà? ah oui. voila. bon sinon je vais inventer. mettre des "a" et des "o" partout. ça devrait le faire.

"FUEGO ! FUEGO! terrorista! enemio.. enemia.. enemi..."

"enemigo!!!!!!!!" hurle une voix de soldat.

Ouais c'est ça merci mon gars!

"FUEGO! FUEGO! ENEMIGO!!!!!!!"

Bon allez nous on se planque...

Dans le campement c'est la panique. Les guerilleros cherchent ce fameux feu et oublient quelques peu Roy qui en profite pour filer.
Eith fait un signe à Roy qui la rejoint, soulagé.
Ne voyant toujours pas Soccar sortir de la tente effondré ils doivent agir, et vite...

***

Peu après du côté d'Eleade, à l'autre bout du campement, celle ci sort de la tente où git le lieutenant coco quand un ferme poigne lui saisit un bras.
Le guerilleros qui la tient, l'air mauvais, lance en ricanant : "Minute papillon !"

Se dégageant prestement la générale n'a guère fait quelques pas qu'elle s'arrête. Des guerilleros armés l'encerclent.

Le guerilleros reprend alors : "Hé hé n'espérez pas nous échapper. Bien et si nous parlions de... chef à chef"

Un bref instant Eleade se fige de stupeur puis elle se retourne vers le chef, le regard déterminé : "Alors c'était vous. Vous n'avez pas respecté notre accord. Vous avez tué un de mes officiés et blessé deux de mes recrues. J'exige réparation" termine t'elle avec aplomp.

Les guerilleros se mettent à rire aux éclats devant l'apparente stupidité de la générale. En réalité elle avait prévu cette réaction et en profite pour filer.

Le chef guerilleros, se rendant compte de la supercherie, rentre dans une colère noire et s'écrie : "Elle payera cet affront ! Capturez là ! Matarla matarla !"

Eleade ne prend pas le temps de se retourner et encore moins de riposter. Traversant une partie du campement à vive allure son coeur tressaille aux sifflement des balles la manquant de peu.

Elle aperçoit la lisière de la forêt. Sa seule chance.
Dans la nuit noire elle pourra se cacher.
Si elle y arrive.

Soudain elle pousse un cri et s'effondre.
Une balle dans le dos.

Tombant dans la boue elle lutte pour rester eveiller.
Se battre pour avancer encore, même en rampant.
Nan ses forces la quitte.
Sentant des mains guerilleros la relever sans ménagement elle sombre dans le noir total.

***



/hj/ hé hé ^^
eith et roy à vous
a vous deux de dialoguer sur les récents évenements (je rapelle qu'eith étant prisonnière elle ne sait pas qu'eleade est venue en renfort ni que soccar est blessé) et de décider quoi faire (filer ? tenter de sauver soccar quelque part sous la tente effondré ? etc) /hj/

Roy avait rejoin eith

Roy : Non de dieu,je la retien le général !!!! Elle ma mis dans une belle merde.Ah au fait merci pour la diversion.Sa va toi ?

/hj/ pendant ce temps là soccar se tourne les pouces
lool c juste pour rire, a toi roy ^^ /hj/